Ayant appris tardivement la publication du numéro 100 de Fooyre Ɓamtaare, je me suis empressé de vous écrire ces quelques mots. Ne l’aurais-je pas fait que j’aurai failli à mon devoir de citoyen. En effet, ne pas témoigner de la qualité, du rôle et surtout de la place acquise par ce périodique dans le cœur des populations voire dans le développement du pays, relève d’un manque de civisme.
Comment parler de l’excellence du travail des rédacteurs de Fooyre qui ont su transmettre l’information en respectant toutes les règles éthique en la matière ? Comment dire la passion qui les a animés dans leur mission de communicateur attentif de la scène publique ? Je ne saurais le faire…
Je dirais tout simplement qu’en 99 éditions, Fooyre a été au rendez-vous. Je souhaite qu’il reste encore 100 mois en notre compagnie.
Oumar El Moctar
L’Authentique